Un t-shirt pour les geeks

Les geeks de ce monde ont l’embarras du choix quand il s’agit d’enfiler un t-shirt. En effet, il existe, sur le marché, une tonne de modèles différents présentant des images destinées aux adeptes de science-fiction et de jeux vidéo. Moi-même, j’ai un chandail de Star Wars et je m’assume! Par contre, la technologie n’a pas vraiment évolué ces dernières années en matière de vêtements. C’est ce que je croyais avant de découvrir le tshirtOS.

Ce t-shirt, quand on le regarde pour la première fois, a l’air tout à fait normal. Il est, par exemple, fait en coton, une matière, vous le savez sûrement, que l’on retrouve dans beaucoup de vêtements. En fait, ce qui différencie ce vêtement de la concurrence est la présence d’un « écran » sur le devant.

La compagnie CuteCircuit, qui fabrique ce produit unique, indique fièrement que c’est le premier t-shirt au monde à être équipé de son propre système d’exploitation pouvant être configuré par l’utilisateur. Vous désirez que tout le monde vous regarde lorsque vous prenez le métro? Le tshirtOS est fait pour vous!

Concrètement, il est possible de le synchroniser avec un téléphone intelligent, comme un iPhone. Vous pourrez alors vous servir de votre t-shirt pour partager une foule de choses avec les gens qui vous entourent. Vous venez de publier un nouveau gazouillis sur Twitter? Affichez-le fièrement sur vous (façon de parler, bien évidemment!).

Vous avez une date ce soir avec une belle inconnue rencontrée justement sur le populaire réseau social? Affichez sa photo sur votre vêtement pour être certain qu’elle vous reconnaisse (elle risque de ne pas apprécier, par contre). Si vous voulez voir comment ça fonctionne, je vous invite à regarder la vidéo qui accompagne cet article. Ça fait rêver!

Pour l’instant, aucun prix n’a encore été communiqué. Tout ce que l’on sait, c’est qu’on peut le laver à la laveuse, à condition d’enlever la pile. Eh oui, même les geeks lavent leur linge! Savez-vous qu’il existe des laveuses et des sécheuses vraiment cool? Mais ça, c’est une autre histoire!