Les chansons les plus faciles et les plus difficiles sur Guitar Hero

L’hymne rebelle de Joan Jett constitue une excellente porte d’entrée pour les débutants, grâce à son tempo régulier et son rythme simple. Il est placé au début du jeu pour une bonne raison. Les motifs de notes sont clairs et faciles à suivre, permettant aux joueurs de se concentrer sur la synchronisation sans être dépassés par la vitesse.

Ce classique dégage quelque chose d’étrangement apaisant. Même si son titre vous met au défi de faire vos preuves, sa jouabilité reste très plaisante. Les progressions d’accords simples se répètent sans surprise. C’est le genre de morceau qui permet de gagner rapidement en confiance tout en gardant un score supérieur à la moyenne.

C’est un modèle de rythme idéal pour les débutants. Slow Ride permet à vos mains de s’adapter tout en vous aidant à conserver assez d’énergie pour que le jeu reste captivant. Il introduit les techniques de base sans jamais donner l’impression d’un simple tutoriel. Son tempo constant aide également à garder le rythme du début à la fin.

Le riff légendaire de Cream se répète avec la régularité d’une horloge, ce qui en fait un rêve pour les joueurs en pleine acquisition des bases. Le tempo de la chanson n’est ni trop rapide ni trop lent. Vous pouvez vous détendre et mémoriser les motifs en toute tranquillité. Il y a assez de marge pour faire des erreurs et se rattraper.

Ce morceau paraît d’abord accessible, mais son tempo, d’environ 130 BPM, le rend un peu plus rapide que la plupart des titres pour débutants. Il ajoute une certaine pression, même si les motifs de notes restent simples. Moins indulgent que Slow Ride, il demeure toutefois plus doux que bien des morceaux de niveau intermédiaire.

Le tube de Heart s’impose avec ses rythmes aigus et une remarquable cohérence. Il peut paraître féroce, mais il suit une logique bien ordonnée. Les joueurs profitent de la répétition du riff principal, et les transitions sont rares. Le véritable défi consiste à maintenir le rythme.

Construit sur un swing bluesy et un espacement de notes bien défini, ce morceau offre aux nouveaux joueurs des moments de répit sans jamais devenir ennuyeux. Les transitions sont fluides et le motif est facile à retenir. Vous pouvez savourer le rythme sans jamais vous sentir dépassé.

Lay Down ne s’embarrasse ni d’astuces ni de changements de tempo. Il repose sur un schéma régulier qui permet de trouver rapidement son rythme. Une fois lancé, vos doigts suivent naturellement le mouvement. Le morceau est assez entraînant pour être gratifiant, tout en restant suffisamment simple pour demeurer accessible.

Malgré son rythme soutenu, ce morceau présente des motifs simples et des répétitions bien définies. Vous n’y trouverez ni solos imprévisibles ni transitions déroutantes. Dans l’ensemble, c’est un mélange satisfaisant de notes ouvertes et de cordes bien rythmées, qui récompense la pratique et le sens du rythme plus que les réflexes.

Jusqu’ici, la liste s’est révélée plaisante. Mais ne vous installez pas trop confortablement: les morceaux à venir mettront à l’épreuve non seulement votre sens du timing, mais aussi la volonté de vos doigts de continuer l’aventure.

Ce morceau de speed metal de DragonForce démarre sur les chapeaux de roue et ne relâche jamais sa pression. L’intro seule suffit à faire échouer plus d’un joueur avant même d’atteindre le refrain. Chaque section pousse les joueurs dans leurs derniers retranchements, exigeant un timing parfait et des réflexes aussi rapides que l’éclair, mettant à l’épreuve même les plus expérimentés.

La ballade de Metallica commence par une intro calme avant de changer de tempo à mi-parcours. Ce changement transforme totalement l’expérience. Des rafales de notes rapides et des coups de marteau délicats mettent votre temps de réaction à rude épreuve. C’est un concept trompeur qui vous force à modifier votre style et à vous adapter rapidement.

Ce classique de Slayer mérite amplement sa réputation. L’ouverture, la section Mosh 1, est un chaos numérique, avec des notes éparses qui défient le rythme et exigent une mémoire musculaire rigoureuse. La rupture qui suit ne laisse aucun répit. Même les joueurs expérimentés hésitent lorsqu’ils rencontrent ce morceau en difficulté expert.

Contrairement à la plupart des titres, celui-ci n’a pas été conçu pour une vraie guitare. Il s’agit d’une reprise de Steve Ouimette, qui réinterprète la bataille de violons en une série de motifs peu naturels et de changements de tempo brutaux. Chaque seconde met à l’épreuve le timing et la vitesse.

Le morceau de Muse ne ralentit jamais. De l’intro galopante aux changements de rythme incessants, il ne laisse aucune pause. Même les musiciens expérimentés se crispent lors des accords soutenus et des transitions rapides. La précision est cruciale ici, et une note manquante peut anéantir un long combo en quelques secondes.

Écrite spécialement pour Guitar Hero par Buckethead, cette chanson avait pour objectif de repousser les limites. L’intro est frénétique, mais c’est la section solo qui transforme les joueurs en spectateurs. Des mouvements de doigts complexes et un timing imprévisible s’entrelacent pour créer l’une des séquences les plus impressionnantes.

L’intro ne vous effraie peut-être pas, mais c’est un faux sentiment de sécurité. Les solos de Vernon Reid arrivent sans avertissement, remplis de changements brusques de vitesse et de rythme. Vous passez constamment d’un style de jeu à l’autre. Il faut faire preuve de polyvalence et d’une mémoire musculaire presque parfaite pour obtenir un bon score, voire simplement survivre.

Cette chanson est à la fois belle et brutale. Le travail d’Eric Johnson à la guitare se traduit par des pull-offs rapides comme l’éclair et des groupements de notes complexes. Il n’y a pratiquement aucune répétition, ce qui vous empêche de vous fier à votre mémoire. La moindre hésitation peut faire s’effondrer votre performance en cours de route.

Il commence lentement, vous laissant croire qu’il fait partie des titres faciles. Mais attendez un peu, et le rythme s’accélère. Dans les dernières minutes, le jeu vous propose des schémas ininterrompus. Vous devez changer de style en plein milieu de la chanson.

Battery de Metallica commence fort et ne relâche sa pression que rarement. La vitesse implacable et la variété des notes sanctionnent toute hésitation. Bien qu’il offre quelques rares pauses, il ne vous laisse jamais vraiment souffler. C’est l’un des morceaux les plus difficiles du jeu, mais c’est War Ensemble qui décroche la palme de la brutalité.