Les 20 pires jeux PS2 jamais créés

2007 a vu la sortie de ce désastre non poli, prouvant que chaque émission de télévision n’a pas besoin d’une adaptation de jeu. Avec des mini-jeux qui manquaient de tout véritable défi, des dialogues qui se répétaient sans fin, et des graphismes ressemblant à un titre PS1 précoce, c’était un échec à tous les niveaux. Les critiques l’ont décrié, et les joueurs l’ont abandonné.

Un jeu sur un guerrier au gingembre à thème ninja aurait dû être une délice excentrique. Au lieu de cela, ce platformer de 2005 a servi des niveaux sans inspiration et un système de combat qui rendait les effets de boutons-poussoirs ressembler à une corvée. Encore pire, le développeur l’a repackagé sous plusieurs autres jeux tout aussi terribles.

Sorti en 2006, ce simulateur de conduite de taxi rendait les embouteillages du monde réel passionnants. Le jeu proposait un Londres vide et des concurrents IA qui conduisaient comme s’ils étaient endormis. Même la bande-son radio, souvent un point fort dans les jeux de conduite, était tout aussi oubliable que le reste de l’expérience.

La vie de truand n’a jamais été aussi sans vie. Cette adaptation de 2006 de la série à succès d’HBO promettait une action réaliste mais a livré des missions paresseuses, des bagarres, des missions répétitives et une histoire qui contredit la lore établie. James Gandolfini méritait mieux, et chaque fan qui a acheté ce jeu par erreur également.

Les jeux de crime peuvent être passionnants, mais ce titre de 2006 avait d’autres idées. Présentant une violence de gang générique, une voix horrible, et un gameplay de tir non inspiré, il ressemblait à un clone de GTA de mauvaise qualité sans aucun charme. Même le multijoueur en ligne n’a pas pu sauver celui-ci.

L’idée de mélanger la magie élémentale avec le combat de ninja semblait séduisante. Cependant, « Godai: La Force Élémentale » de 2002 a déçu. Avec des contrôles lents, un scénario oubliable et des ennemis qui réagissaient à peine aux attaques, il manquait de la finesse attendue d’une aventure à thème ninja. 

Surf’s up? Pas ici. Cette erreur de 2001 rend la pratique du surf aussi excitante que contrôler une boîte en carton mouillée. La physique de l’eau ressemblait plus à de la glace qu’à des vagues océaniques, et le système de tricks disgracieux a transformé chaque course en un exercice d’exaspération. Comme l’une des rares adaptations de surf sur PS2, elle a gâché son attrait de niche.

Même le film d’Halle Berry était meilleur que ça. Avec une plateforme flottante, un système de combat rigide et des niveaux conçus avec peu de considération pour le rythme, il n’a pas réussi à capturer l’agilité et la grâce de son personnage éponyme. Ses graphismes, bien que stylés, n’ont pas pu sauver l’expérience.

Les bagarreurs vivent et meurent par leur combat, et “Crime Life: Gang Wars” (2005) avait certains des pires. Les combats se résumaient à une pression frénétique des boutons, l’IA des ennemis réagissait à peine, et les voix paraissaient robotiques. Il a essayé de surfer sur la vague du succès de GTA mais s’est noyé immédiatement.

Comment peut-on gâcher un jeu de Superman ? « Superman Returns » nous a montré comment le faire avec des missions ennuyeuses et une Metropolis sans vie qui ressemblait à une ville fantôme. Le plus grand pouvoir de Superman – le vol – a été transformé en une corvée fastidieuse, ce qui en fait l’un des plus grands déceptions dans les jeux de super-héros.

Un film sur les combats clandestins devrait donner lieu à un combattant convaincant, n’est-ce pas ? “Fight Club” a toutefois gâché cela avec des mécaniques maladroites, un roster peu profond et un personnage complètement hors de propos : Fred Durst de Limp Bizkit. Il a pris tout ce qui rendait le film excitant et en a retiré la vie.

Rappelez-vous ce personnage de sonnerie ringtone bizarre des années 2000 ? “Crazy Frog Racer” (2005) a tenté de le transformer en un jeu de kart, mais avec des circuits sans inspiration, des effets sonores horribles et certaines des pires conceptions de personnages, cela ressemblait plus à une mauvaise plaisanterie qu’à un véritable jeu.

Les fans de Spyro méritaient mieux. Sorti en 2002, cette déception pleine de bogues a souffert de crashes fréquents, de commandes lentes et d’un design de niveau sans inspiration. Ce qui aurait dû être un charmant jeu de plateforme s’est avéré être l’un des points les plus bas de la franchise.

L’ère PS2 de Crash Bandicoot n’a pas été grande, et cet épisode de 2008 a prouvé pourquoi. Il présentait des visuels peu inspirés, des missions ternes et une boucle de gameplay douloureusement répétitive. Au lieu de revitaliser la franchise, il ne l’a poussée plus loin dans la médiocrité.

Rien ne crie “imparfait” autant que “Charlie’s Angels” (2003). Les personnages bougeaient comme des robots défectueux, les ennemis contrôlés par intelligence artificielle oubliaient d’attaquer, et les combats ressemblaient plus à un test de patience qu’à un test de compétence. Les acteurs du film préféreraient probablement oublier que ce jeu a existé.

Un jeu sur une licorne qui combat le mal sonne incroyable—sauf quand c’est celui-ci. Sorti en 2002, il avait un combat peu réactif, des ennemis génériques et des environnements peu inspirés. Malheureusement, c’était le chapitre un de rien puisque la franchise n’a jamais poursuivi plus loin.

Le survival horror exige une atmosphère et de la suspense, mais “Seul dans le noir” (2008) n’a offert ni l’un ni l’autre. Il était rempli de commandes maladroites et ressemblant à un tank, et une intrigue oubliable a transformé ce qui aurait pu être une expérience d’horreur glaçante en un jeu qui vaut mieux être laissé dans le noir.

Contrairement à son homologue cinématographique haute énergie, ce désastre PlayStation 2 et Xbox offre des commandes rigides. L’IA est une blague, avec des ennemis qui restent immobiles comme des mannequins ou qui se ruent sur vous en vagues insensées. Au lieu de capturer le chaos chauffé à l’adrénaline de « Bad Boys II », ce jeu ressemble à une contrefaçon bon marché que personne n’a demandée.

En tant que titre de lancement pour la PS2, les attentes étaient élevées, mais ce jeu a présenté un ensemble bancal et répétitif. Le système de combat – censé mettre en valeur les sorts envoûtants – semblait raide et lent, avec une cible maladroite et des rencontres d’ennemis peu inspirées.

« Frogger : La Grande Quête » a abandonné ses racines de jeu d’arcade pour un plateauforme 3D maladroit, avec des commandes épouvantables. L’histoire force Frogger à une aventure de conte de fées bizarre avec des voix ridicules. Le combat était terne, les niveaux manquaient de créativité, et le jeu ressemblait à un moyen détourné d’argent.