Les 10 manettes de jeu les plus emblématiques et les 10 qui n’ont jamais eu de sens

En 1978, la manette Atari CX40 a permis à des millions de personnes de découvrir les jeux vidéo à domicile, définissant ainsi l’aspect et la sensation d’une manette de jeu. Sa coque en plastique noir et sa conception emblématique à un seul bouton ont été conçues pour durer et être simples – des qualités qui l’ont rendue intuitive, même pour les joueurs débutants.

La manette de la NES, avec son D-pad et ses boutons A/B désormais légendaires, était ergonomiquement étrange mais fonctionnellement révolutionnaire. Elle apprenait aux joueurs à sauter, courir, faire une pause et tirer, le tout avec seulement quelques doigts. Le D-pad est devenu un élément permanent de la conception des manettes, jetant les bases de tous les jeux de plates-formes en 2D.

Rien n’a jamais mieux décrit l’évolution que deux sticks analogiques et une vibration bien sentie. Le DualShock original, associé pour la première fois à la PlayStation, offrait aux joueurs un retour d’information tactile et un contrôle plus fluide que jamais. Avec ses deux sticks analogiques, il a ouvert la voie à un contrôle précis de la caméra et du personnage dans les espaces en 3D.

Lorsque la manette de la Xbox 360 est sortie, les joueurs de tous les genres ont loué son équilibre parfait entre forme et fonction. Ses poignées profilées et ses gâchettes réactives en ont fait la référence en matière d’ergonomie. De plus, la disposition asymétrique des manettes a fait des merveilles pour les jeux de type FPS.

Personne ne s’attendait à ce que cette chose violette à la forme étrange devienne le favori des fans. Mais la manette du GameCube a défié toutes les attentes grâce à sa disposition immédiatement reconnaissable. Le bouton A géant, la gâchette Z décalée et les poignées incurvées en faisaient une manette excentrique mais étonnamment efficace.

La télécommande Wii, ou Wiimote, a transformé les soirées jeux en soirées familiales en invitant le mouvement dans l’expérience de jeu. Ses capteurs de mouvement vous permettent de manier une épée, le tout avec des gestes intuitifs. Au lieu de boutons, elle s’appuie sur la façon dont vous bougez, ce qui rend les jeux accessibles aux joueurs de tous âges.

Cette manette a fait tourner les têtes avec sa forme extraterrestre, mais derrière ce design étrange se cachait un objectif: initier les joueurs au contrôle analogique dans les environnements 3D. Son stick analogique central et sa gâchette (le désormais iconique bouton Z) offraient aux joueurs une nouvelle façon de se déplacer et d’interagir.

La manette de la Super Nintendo est devenue emblématique pour avoir révolutionné la conception des manettes de jeu grâce à sa forme ergonomique, à sa disposition intuitive en losange à quatre boutons (A, B, X, Y) et aux boutons d’épaule L et R, une première dans l’industrie. Elle a également amélioré la complexité et le confort du jeu.

Pour les fans de jeux de combat, cette manette répondait avec plus de précision aux limites de sa version précédente à 3 boutons. Street Fighter II et Mortal Kombat ont soudain pris tout leur sens sur la console. De plus, la conception a permis de placer les boutons supplémentaires sur une seule rangée pour des combos plus fluides.

La manette de la Sega Dreamcast comportait un emplacement intégré pour une unité de mémoire visuelle (VMU), ce qui permettait d’avoir un écran secondaire et de stocker des mini-jeux. Avec son stick analogique, ses gâchettes et ses baies d’extension modulaires, elle a jeté les bases des manettes modernes comme la Xbox.

Voici maintenant dix manettes qui nous ont fait plisser les yeux et nous ont fait nous demander qui les avait conçues et pourquoi.

Le Power Glove promettait un contrôle futuriste des mouvements, mais il offrait une jouabilité maladroite et peu réactive. Sorti sur la NES, il nécessitait des combinaisons de doigts maladroites et fonctionnait rarement comme prévu. Les joueurs sont restés perplexes, tandis que la culture populaire a immortalisé son échec par un clin d’œil.

Entrez dans un octogone en plastique et battez-vous. Le Sega Activator était posé sur le sol, essayant de lire vos coups de pied et de poing à l’aide de rayons infrarouges. Il réagissait plus comme un accessoire de maison hantée – lent, nerveux et profondément frustrant.

Ressemblant à un scanner rejeté dans un film d’espionnage, l’U-Force transforme l’air en données et se trompe généralement. Vous passiez vos mains au-dessus des capteurs, espérant un coup de poing, un coup de pied ou un saut. Ce que vous obteniez à la place était un désordre glitchy qui donnait aux boutons l’impression d’être des miracles.

La sensibilité au toucher, c’est bien joli jusqu’à ce que votre pouce effleure le pad et que votre personnage s’élance du haut d’une falaise. Le Turbo Touch 360 a remplacé le fidèle D-pad par une plaque hypersensible qui réagit plus vite que votre cerveau.

Celui qui figure sur la liste vous permet de vivre l’expérience complète d’un pilote de mécha et d’avoir le mal de tête qui va avec. Il était absurdement complexe et incroyablement cher. Si vous n’étudiiez pas le manuel comme un examen de vol, vous deviez appuyer sur la touche d’éjection pour vous déconnecter.

Le Wii U GamePad était doté d’un écran tactile, d’un système de contrôle des mouvements, d’une caméra et de la technologie NFC, mais il n’a jamais vraiment séduit les développeurs et les joueurs. Il était encombrant, épuisait rapidement la batterie et son rôle n’était pas clair pour tout le monde. Malgré son potentiel, la manette n’a jamais justifié sa présence dans vos mains.

Avec le contrôleur CD-i de Philips, le jeu ressemblait à du surf sur une chaîne, mais plus lent et beaucoup moins amusant. Cet appareil a été conçu pour les menus, pas pour le mouvement. Enfin, il laissait les joueurs se débattre dans des jeux d’action comme Zelda: The Faces of Evil sans aucune grâce.

Il s’agissait d’un joystick qui ne se remettait pas au centre. Imaginez maintenant que vous jouiez à Pac-Man avec ça. Le stick analogique de la manette 5200 était un joker, et pas dans le bon sens du terme. 

La ColecoVision associait un joystick rigide à un pavé numérique complet, ce qui faisait d’un ordinateur de poche un cauchemar. Les joueurs avaient du mal à être précis, et les fonctions censées les aider ne faisaient qu’empirer les choses. Cela ressemblait à du travail, pas à du plaisir.

La manette de lancement de la Xbox a été surnommée « Duke » rien que pour sa taille. Conçue pour de grandes mains et un marquage massif, elle submergeait les joueurs par sa disposition étalée et ses boutons noirs et blancs bizarrement placés. Microsoft l’a rapidement remplacée par la manette S, beaucoup plus fine.