Les 20 pires voitures de l’histoire pourtant produites par de bonnes marques

C’est une rare erreur de la part de Mercedes-Benz. Cette berline de luxe d’entrée de gamme souffrait d’une mauvaise qualité de construction, de moteurs sous-alimentés, et d’un intérieur qui semblait distinctement non-Mercedes. L’intention de la marque, qui était de séduire des acheteurs plus jeunes, a conduit à compromettre ses valeurs fondamentales.

L’Aston Martin Cygnet était une Toyota iQ rebadgée avec des finitions de luxe. C’était une voiture de ville créée uniquement pour répondre aux exigences d’émissions des flottes européennes. Prix à près de 50 000$, elle reste l’un des épisodes les plus embarrassants de l’histoire d’Aston Martin.

Les puristes de Porsche ont rejeté ce modèle comme n’étant pas une « vraie » Porsche, ce qui a nui à la réputation de la marque parmi les passionnés de voitures de sport. La 924, initialement conçue pour Volkswagen, était une Porsche d’entrée de gamme qui utilisait un moteur VW/Audi modifié et était considérée comme gravement sous-motorisée par les conducteurs.

Le premier modèle hybride dédié de Lexus était essentiellement une version améliorée de la Toyota Prius qui coûtait beaucoup plus cher qu’elle n’aurait dû. Il y avait des rapports sur une maniabilité médiocre et une économie de carburant relativement faible, et il avait même un intérieur exigu qui a conduit à son rapide retrait en Amérique du Nord.

L’effort de BMW pour fusionner une berline, un SUV et un hayon en un seul véhicule a conduit à un design peu élégant qui n’a impressionné personne. Le style controversé et la praticité compromise de la BMW Série 5 GT en ont fait une déception commerciale et ont nui à la réputation de design de BMW.

Une fiabilité médiocre et des performances décevantes de ce modèle ont presque terni l’image de luxe de Jaguar. La Jaguar X-Type a été construite sur une plateforme modifiée de Ford Mondeo. La marque a tenté de créer un modèle d’entrée de gamme, ce qui nous a donné une voiture qui ressemblait davantage à une Ford qu’à une Jaguar.

Le Cadillac Cimarron est peut-être l’exemple le plus notoire de l’ingénierie de badge mal réalisée. La voiture ressemblait à une Chevrolet Cavalier habillée, avec un prix de Cadillac que personne ne voulait payer. Ce modèle a gravement endommagé la réputation prestigieuse de Cadillac pendant plusieurs années.

Bien qu’il ne s’agisse pas d’une voiture terrible en termes absolus, de nombreux conducteurs considéraient la Ferrari Mondial comme sous-motorisée et mal stylée pour une Ferrari. La marque a essayé de la commercialiser comme la « Ferrari abordable », mais la voiture a finalement fini par être le vilain petit canard de la famille Ferrari.

Ce camion « de luxe » n’a duré qu’un an en Amérique du Nord. Le Blackwood avait une benne recouverte de moquette impraticablement petite avec un couvercle de tonneau motorisé qui ne pouvait pas être enlevé. De plus, il avait un prix astronomique et une configuration uniquement à propulsion arrière—pas idéale pour son marché cible d’acheteurs de camions aisés.

La deuxième génération du Q45 a abandonné la performance musclée et le style distinctif de l’original pour un design terne et conservateur. De plus, un moteur réduit et une suspension adoucie se sont complètement éloignés du caractère audacieux qui avait initialement distingué la berline phare d’Infiniti.

Le Biturbo a été frappé par des problèmes de qualité de construction catastrophiques et un moteur sujet à des pannes spectaculaires. Les problèmes de fiabilité et les exigences d’entretien coûteuses de cette voiture ont failli plonger Maserati dans la faillite. Cela a nui à la réputation prestigieuse de la marque pendant presque deux décennies.

Le prix excessif de la voiture et sa crise d’identité en ont fait un échec commercial dans la plupart des marchés. Le modèle fabriqué en Italie, Volvo 262C, se caractérisait par un toit controversé, un revêtement en vinyle épais et des proportions inhabituelles qui contredisaient complètement l’image conservatrice et axée sur la sécurité de Volvo.

Bien que techniquement innovante avec sa construction en fibre de verre et son moteur à arbre à cames en tête, cette Lotus à quatre places était Entachée par une qualité de construction dévastatrice et un style de break controversé. De plus, de nombreuses pannes mécaniques et des coûts d’entretien élevés étaient associés à ce modèle.

L’Acura ZDX était une tentative ambitieuse mais fondamentalement défectueuse de créer un coupé sportif de luxe à quatre portes avec une hauteur de conduite de SUV. Cela a abouti à un véhicule qui n’excellait dans rien. La ligne de toit fortement inclinée du ZDX a sévèrement compromis l’espace pour la tête à l’arrière et l’espace de chargement.

Le prix du Camargue en faisait la voiture de production la plus chère au monde au moment de son lancement. Cependant, la voiture a été universellement critiquée pour ses proportions peu élégantes, son design daté et sa durabilité discutable. C’était un échec commercial qui a eu un accueil mitigé, ce qui a terni la réputation de RR.

La première génération du Discovery Sport souffrait d’une conduite très dure et de problèmes de fiabilité persistants qui étaient bien en deçà du positionnement premium de Land Rover. Des plateformes obsolètes et des groupes motopropulseurs non raffinés en faisaient l’un des véhicules les moins compétitifs de son segment.

Bien qu’il se soit finalement avéré commercialement réussi, le Cayenne original a fait face à de vives critiques en raison de son style controversé, compte tenu de l’héritage de Porsche en matière de voitures de sport. Les premiers modèles semblaient assez déconnectés des valeurs fondamentales de Porsche. Ainsi, il a fallu des années à la marque pour surmonter ces effets.

La Mercedes-Benz R-Class est un minivan/crossover hybride déroutant de luxe qui a eu du mal à trouver sa niche sur le marché. Alliant un prix premium à une faible efficacité énergétique et une praticité compromise, la R-Class n’a réussi à attirer ni les clients traditionnels de Mercedes-Benz ni les acheteurs de familles de luxe à l’esprit pratique.

Bien qu’il ait engendré de nombreux imitateurs, l’X6 original manquait de praticité et souffrait d’une visibilité limitée. Le haut centre de gravité et le poids considérable ont eu un impact négatif sur la maniabilité, tandis que la ligne de toit inclinée a sévèrement restreint la capacité de chargement et l’espace pour la tête à l’arrière dans le BMW X6.

Oui, l’Audi A2 avait une construction en aluminium solide et une consommation de carburant remarquable pour son époque. Cependant, il s’est avéré beaucoup trop coûteux à produire de manière rentable et trop avant-gardiste pour les acheteurs contemporains. Comme les chiffres de vente étaient médiocres, l’Audi A2 a été retirée par la marque.