Les 20 niveaux de jeux vidéo les plus difficiles auxquels nous avons à peine survécu

Introduit en 1991, le Turbo Tunnel de Battletoads est rapidement devenu une référence notoire en matière de difficulté dans les jeux vidéo. La conception du niveau comprend des motifs trompeurs et des barrières rapides comme l’éclair, ce qui laisse peu de place à l’erreur. En particulier, les barrières en forme de mur apparaissent sans avertissement, mettant à l’épreuve les réflexes des joueurs.

Dernier défi de Super Mario Galaxy 2, La course parfaite porte bien son nom en exigeant une exécution sans faille. Déverrouillé après avoir collecté 9 999 Star Bits et relevé les défis précédents, ce niveau n’offre aucun point de contrôle. Il exige des joueurs qu’ils traversent une série de dangers en une seule tentative.

Caché dans le Palais blanc, le Chemin de la douleur est un défi de plateforme optionnel mais redoutable dans Hollow Knight. Accessible par une entrée secrète, cette zone est truffée d’épines et de pics. Contrairement au reste du jeu, le combat est ici relégué au second plan, ce qui permet de mettre l’accent sur les compétences de plates-formes.

L’étape 6-2 de Ninja Gaiden permet aux joueurs de faire face à des réapparitions incessantes d’ennemis, à des plates-formes délicates et à la menace d’être projeté dans des fosses. De plus, les échecs dans les étapes suivantes renvoient souvent les joueurs au début de l’étape 6-1.

Le Temple de l’Eau d’Ocarina of Time est tristement célèbre pour sa conception complexe et ses mécanismes complexes. Situé sous le lac Hylia, les joueurs doivent manipuler les niveaux d’eau pour accéder à différentes zones, une tâche compliquée par la nécessité d’équiper et d’enlever fréquemment les Bottes de Fer.

Champion’s Road est l’ultime creuset de plates-formes de Nintendo. Ce défi d’une cruauté inouïe ne comporte aucun bonus ni aucun point de contrôle. Même les joueurs expérimentés se retrouvent à répéter des sections des dizaines de fois avant d’apercevoir enfin le tuyau scintillant de l’objectif.

Descendre dans Blighttown ressemble à une punition déguisée en exploration. Située sous le Burg des morts-vivants, cette zone traîtresse est tristement célèbre pour ses marécages empoisonnés et ses ennemis grouillants. Si vous jouez sur une console plus ancienne, les bégaiements du framerate rendent la survie encore plus difficile.

Caché dans les missions bonus, le complexe aztèque transforme le jeu d’espionnage raffiné en une épreuve d’endurance frénétique. Les objectifs impliquent une synchronisation délicate et la survie à une série de pièges. L’accomplir en difficulté 00 Agent est toujours considéré comme l’une des plus grandes marques d’honneur du jeu.

Tree Tops met à mal le rythme décontracté du jeu et le remplace par une conception agressive de type essai-erreur. Dans ce niveau, il s’agit d’enchaîner des Supercharges (mouvements de course déclenchés par des flèches lumineuses) sur des plateformes étroites et dans des virages serrés.

« On ne va pas à Ravenholm Cet avertissement sinistre persiste bien avant que vous ne mettiez les pieds dans cette ville industrielle cauchemardesque. Ce qui suit est un changement de ton radical, vous jetant dans un labyrinthe hanté rempli de pièges et de zombies terrifiants qui se déplacent rapidement.

Ce niveau s’ouvre sur des archers fantomatiques qui font pleuvoir des flèches du ciel, vous obligeant à sprinter stratégiquement d’un abri à l’autre. Au fur et à mesure que vous descendez, les ennemis deviennent de plus en plus féroces, avec des chevaliers annelés et des horreurs angéliques qui mettent à l’épreuve à la fois le timing et l’endurance.

En tant que boss optionnel, ce dragon n’est pas nécessaire pour terminer Dark Souls III, mais l’affronter, c’est comme entrer dans un autre jeu. Ses attaques sont implacables et sa barre de santé semble infinie. Vous devrez étudier chacun de ses mouvements. La moindre erreur est synonyme de mort instantanée.

Après quelques niveaux d’action à défilement latéral, TMNT vous plonge dans un cauchemar sous-marin. La mission Dam oblige les tortues à désarmer des bombes à retardement disséminées dans un labyrinthe électrique de coraux et d’algues. Même le chronomètre ne pardonne pas.

Tubular vous donne un faux sentiment de sécurité avant de vous offrir un défi unique dans Super Mario World. L’ensemble du stage repose sur votre capacité à flotter avec le P-Ballon, un bonus qui permet à Mario de se gonfler et de planer maladroitement.

Dans cet avant-dernier niveau, les Hammer Bros. s’empilent sur presque toutes les plateformes, vous obligeant à faire preuve de précision et de planification. Leurs marteaux pleuvent de façon imprévisible, et le petit arc de saut de Mario signifie que vous ne pouvez pas les surpasser en vitesse brute.

The Silent Cartographer ne tarde pas à vous plonger dans une guerre totale. Vous partez à l’assaut des sables aux côtés de vos collègues marines de l’UNSC, avant d’être confronté à des vagues d’ennemis du Covenant et à une structure de mission de plus en plus serrée. De plus, les ennemis réagissent aux actions du joueur et les véhicules deviennent à la fois des bouées de sauvetage et des boulets.

Considéré à l’origine comme trop difficile pour les joueurs américains, The Lost Levels était la véritable suite japonaise de Super Mario Bros. et c’est dans le monde 8 que sa cruauté atteint son paroxysme. Il s’agit d’un niveau conçu non seulement pour tester les réflexes, mais aussi pour remettre en question votre volonté de continuer.

The Flying Machine transforme un jeu de plateforme familier en un chaos contrôlé. Incarner Plague Knight change complètement la donne. Ajoutez à cela des rafales de vent et vous obtenez un niveau qui ressemble plus à un jonglage de grenades sur une corde raide.

Il n’y a pas de place pour l’hésitation à ce niveau. Vous devez enchaîner les accrochages au mur et les atterrissages au pixel près. L’ensemble du niveau exige une mémoire musculaire pure, mais l’histoire sous-jacente en fait un jeu plus que mécanique. Et lorsque vous y parvenez enfin, votre triomphe change tranquillement votre vie.

Les joueurs se souviennent de The Library pour une seule raison: les vagues incessantes du Déluge. Ce niveau ralentit le rythme tout en gardant votre doigt collé à la gâchette. Il n’y a pas d’endroit sûr, pas de stratégie fiable, seulement de la survie pure et simple.