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Si vous pensiez que les ragots étaient une histoire de femmes, détrompez-vous! Une étude, réalisée par le Daily Mail, révèle que l’homme moderne est incapable de tenir un secret. Comme commères, nous sommes pires que les femmes!
Avant, nous parlions de choses secrètes au bar avec nos amis. Maintenant, avec les réseaux sociaux, nous ne sommes même plus capables d’attendre! Ça prend environ trois heures avant que nous partagions un secret avec nos amis.
De plus, presque la moitié des hommes ont admis discuter d’un secret quelques minutes après l’avoir appris. Et les femmes là-dedans? Eh bien, on devrait avoir honte! Elles ont admis attendre trois heures et demie avant de divulguer un secret.
Le pire là-dedans, c’est que nous sommes 92 % à penser que nous sommes bons pour garder des secrets. Pas surprenant que les femmes aient de la difficulté à nous faire confiance!
Le commérage, bon pour l’estime de soi!
L’étude est aussi arrivée à une autre conclusion surprenante. Il semblerait que parler dans le dos de quelqu’un serait bon pour l’estime de soi. Pourquoi? Tout simplement parce que le commérage sert à nous comparer aux autres.
Et si vous n’avez pas l’habitude de commérer, mais plutôt d’entendre des potins, sachez que c’est bon aussi pour vous. En effet, ça stimule votre autoréflexion et votre autoévaluation, et ce, que le potin soit positif ou négatif.
Autre fait intéressant : les hommes et les femmes n’ont pas la même attitude avec les médisances.
Les femmes, par exemple, ont un niveau d’autoprotection plus élevé lors de potins négatifs, parce qu’elles pensent qu’elles pourraient éprouver le même sort si elles en étaient la cible.
Les hommes, qui reçoivent des commérages positifs, éprouvent un niveau de peur plus élevé. Pourquoi? Parce que le mâle en nous se sent en danger lorsqu’il est comparé à ses compétiteurs.
Comme quoi, ce n’est pas demain la veille que les potins vont arrêter d’exister…