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La professeure et les mineurs s’étaient retrouvés dans un bar pour célébrer. Puis, quand la plupart des invités étaient endormis ou étaient partis, elle a invité sept garçons mineurs dans sa chambre pour s’amuser un peu avec eux.
La liste de délits qu’on lui reproche est assez longue. Elle aurait notamment permis à des mineurs, dont l’un n’avait que 11 ans, de caresser et lécher ses nouveaux seins. Elle aurait aussi fait une fellation à un adolescent de 15 ans, alors que les autres avaient quitté sa chambre.
À sa défense, l’enseignante stipule qu’elle a été droguée avec du GHB par un étudiant de 18 ans durant la fête. En fait, elle soutient que c’est elle la victime là-dedans. Elle croit fermement que ce sont les adolescents qui l’ont violé.
Elle dit aussi que c’est pour cette raison qu’elle ne se souvient plus trop des événements du 22 mars 2015.
Durant les audiences, son avocat a remis un échantillon de cheveux de Lindsey Ann Radomski prouvant qu’elle avait été bel et bien droguée. Or, le procureur a indiqué que le niveau de GHB dans son sang n’était pas plus élevé que ce que l’on retrouve dans un échantillon normal.
Il accuse également l’accusée d’avoir changé sa version des faits quand elle a réalisé qu’elle serait accusée.
Son procès devrait finir la semaine prochaine. Elle accusée entre autres d’avoir eu une conduite sexuelle avec un mineur et d’abus sexuel. Elle risque une peine allant de six mois à trois ans avec sursis.
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