Première chronique webtélé de trois : évidences ou pas de la vie après la mort?
François C. BourbeauJe vous propose de réfléchir sur un sujet qui passionne vraiment tout le monde : la vie après la mort.
D’abord, l’initiateur de ce sujet, on le sait, est le docteur Raymond MOODY qui publia un premier ouvrage sur le sujet dans les années 70. Inutile de préciser que des millions d’Américains achetèrent son livre, et c’est ainsi que le docteur MOODY devint célèbre.
Mais moi, alors très jeune, et après avoir lu son ouvrage, j’en discutai avec ma grand-mère maternelle, la « sorcière du village ». Elle possédait vraiment plusieurs extraordinaires facultés comme celle de « tirer aux cartes », mais aussi de pratiquer brillamment l’hypnose sur son époux, l’aidant ainsi à dormir l’équivalent de 12 heures en 6! Elle jouissait aussi du don, disait-elle, de voir « ce qui allait se produire dans l’avenir »!
C’est également grâce à elle que mon intérêt pour les phénomènes paranormaux est vite apparu, alors que je n’avais que 6 ou 7 ans. Je vous propose donc cette première chronique webtélé portant sur le sujet de la « table-parlante », phénomène qui s’apparente aussi au fameux jeu du Ouija.
Puis, dans les deux chroniques qui suivront, j’aborderai des exemples singuliers où des témoins m’ont raconté avoir vécu des expériences plutôt traumatisantes au cours desquelles ils ont rencontré des « revenants », des « fantômes ». L’histoire que je vais surtout vous raconter sera celle qui s’est produite à de nombreuses reprises dans le parc des Laurentides, situé entre les villes de Québec et de Chicoutimi, où des camionneurs affirment avoir vu une femme, vêtue de blanc, marcher sur le bas côté de la route 175, puis « disparaître » aussi subitement qu’elle était apparue alors qu’ils s’approchaient d’elle!
Enfin, dans une troisième chronique, ce sont carrément des « voix de l’au-delà » que je vous ferai entendre. Mais je ne vous en dis pas plus, histoire d’entretenir un peu plus le mystère entourant ces sujets qui réussissent toujours à captiver même les plus sceptiques, par exemple lorsqu’on se retrouve en gang autour d’un bon feu de camp, lors d’une nuit d’été sous un ciel étoilé, et qu’un des comparses présents prend la parole pour raconter une de ces « histoires vécues, typiquement québécoises! »…