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« J’ai du sexe avec des corps », dit-il. De son propre aveu, la nécrophilie « est partie prenante de sa formation professionnelle », ajoute-t-il ensuite.
En pleine entrevue télévisée pour la station Adom TV, Sharkur Lucas confie donc avoir satisfait ses pulsions sexuelles sur un cadavre à « plusieurs, plusieurs reprises » dans le cadre de sa formation à l’emploi.
« C’est le genre de formation pratique que tu dois avoir, parce qu’une fois que c’est fait, tu n’as plus peur d’eux après », révèle-t-il, faisant allusion aux corps. La consigne lui aurait été dictée par ses supérieurs.
Cette histoire sordide se déroule en Ghana, pays d’Afrique occidentale situé au bord du Golfe de Guinée.
Sans en comprendre les raisons, et depuis l’entrevue, Sharkur Lucas révèle être la proie d’une chasse à l’homme policière. On se demande bien pourquoi, hein?
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