Une fois les chèques en sa possession, elle s’est empressée d’aller à la boulangerie du coin, à Bordeaux, pour se gâter un peu. Résultat : avec 23 faux chèques, elle s’est procuré des bonbons et des viennoiseries d’une valeur de plus de 3 500 $ (2 600 €, selon la police française). Elle a aussi visité une chaîne de restauration rapide où elle a payé avec deux autres chèques.
En voyant son relevé de compte, la voisine s’est évidemment empressée de contacter sa banque pour s’opposer à ces transactions. Le boulanger a eu la même surprise quand il s’est rendu compte qu’il ne pouvait pas déposer les chèques.
Les forces de l’ordre ont rapidement identifié la coupable et l’ont amenée au poste de police. Ses parents devront rembourser (en partie ou en totalité, on ne le sait pas) le pauvre boulanger.
Qu’est-ce qu’on ne ferait pas pour avoir une « dose » de bonbons?