10 jeux vidéo avec d’excellents temps de chargement et 10 qui durent une éternité

Alors que les fans plaisantent sur le fait que Hideo Kojima a conclu des accords avec des forces surnaturelles, la réalité derrière les temps de chargement apparemment impossibles de Death Stranding 2 réside dans la puissance brute du Decima Engine. Les joueurs ont vu des sauvegardes se charger en moins d’une seconde, si bien que beaucoup considèrent qu’il s’agit de l’un des chargements les plus rapides de tous les temps.

Marvel’s Spider-Man 2 met en valeur le SSD de la PS5 en offrant des déplacements rapides quasi instantanés à travers New York. Insomniac Games a même fait en sorte que le chargement fasse partie du plaisir en utilisant de superbes animations qui maintiennent l’immersion pendant que vous vous déplacez d’un quartier à l’autre.

Les consoles next-gen redéfinissent les performances de chargement, et Resident Evil Village sur PS5 fait ce bond en avant. Les fichiers de sauvegarde et les transitions entre les menus ne prennent que quelques secondes, tandis que les déplacements entre les zones principales se font presque instantanément. Cette prouesse technique préserve l’atmosphère d’horreur en éliminant les temps morts qui brisent l’immersion.

Lancé à l’origine en tant qu’exclusivité PS5, Returnal a mis en avant la maîtrise par Housemarque des capacités SSD de la console grâce à un chargement instantané et des transitions de biome fluides. Cette prouesse technique est importante pour la structure roguelike du jeu, car elle permet de maintenir sa référence en matière de performances lors de l’extension à Windows en 2023.

Alors que le remake original de Final Fantasy VII confinait les joueurs aux couloirs d’acier de Midgar, Rebirth s’étend sur des terres tentaculaires qui éclipsent son prédécesseur. Square Enix réussit l’impossible : ce monde beaucoup plus vaste se charge encore plus rapidement sur PS5, éliminant ainsi les barrières qui vous empêchent d’explorer en toute fluidité.

Lorsque Sucker Punch Productions a conçu sa vaste aventure dans le Japon féodal, il ne s’est pas contenté de maîtriser les temps de chargement de la PS4 : il a accidentellement créé un jeu rapide pour la PS5. Le jeu en monde ouvert se déplace si rapidement d’un lieu à l’autre que les développeurs ont dû ralentir pour que les conseils restent lisibles.

L’époque des longs écrans de chargement interrompant l’immersion dans le jeu est révolue. La Creative Business Unit III de Square Enix a franchi une étape technique remarquable avec Final Fantasy XVI. Les transitions entre les scènes et les batailles sont pratiquement instantanées.

Ce jeu tire pleinement parti des temps de chargement ultra-rapides de la PS5, offrant aux joueurs un accès instantané à sa vaste gamme de voitures et de circuits. Il gère également plus de 2 600 arrière-plans en mode photo avec une facilité impressionnante. Ce niveau de finesse technique est l’œuvre de Polyphony Digital, le studio chevronné à l’origine de la série de courses emblématique.

S’appuyant sur Marvel’s Spider-Man, cette extension autonome d’Insomniac Games exploite l’architecture SSD avancée de la PS5 pour redéfinir la navigation en monde ouvert. Les joueurs peuvent passer du tableau de bord au jeu en moins de dix secondes, et découvrir les vastes étendues de New York avec une continuité sans précédent et sans interruption de chargement.

Alors que les consoles de la génération précédente obligeaient les joueurs à passer par de longs écrans de chargement, Elden Ring met en avant la maîtrise technique de FromSoftware grâce à des transitions quasi-instantanées. Cette mise à jour spectaculaire transforme le RPG d’action en monde ouvert édité par Bandai Namco, en permettant une exploration fluide et en éliminant la douleur des morts fréquentes.

Après les champions du lancement rapide, il est temps de se confronter aux titres pour lesquels le chargement semble être une quête secondaire à part entière.

Ce qui avait commencé comme une attente impatiente s’est rapidement transformé en occasions de se faire du café lorsque les joueurs d’Anthem ont été confrontés aux fameux écrans de chargement du jeu. Même un matériel de premier ordre n’a pas pu sauver les joueurs des longues minutes d’attente, ce qui a suscité de nombreuses plaintes qui ont finalement poussé les développeurs à corriger ces retards qui mettaient la patience à rude épreuve.

Alors que l’ambitieux monde ouvert de Sniper : Ghost Warrior 3 promettait de vastes terrains de jeu tactiques, il proposait également des écrans de chargement marathon qui pouvaient s’étendre sur plus de cinq minutes, soit suffisamment longtemps pour que vous puissiez assister à la pause publicitaire de votre sitcom préférée. Les développeurs ont reconnu le problème et se sont engagés à réduire ces temps d’attente épiques.

La fonctionnalité obligatoire de SimCity, toujours en ligne, s’est avérée être son talon d’Achille numérique, car elle a entraîné une cascade de problèmes de chargement lors du lancement. L’encombrement des serveurs a laissé des maires frustrés bloqués hors de leurs royaumes virtuels, et certains ont dû attendre des heures interminables avant qu’un mode hors ligne ne vienne enfin sauver la situation.

Kingdom Come : Deliverance s’est fait connaître pour ses temps de chargement très longs, conséquence technique de sa simulation réaliste et de la conception de son monde étendu. C’est sur les consoles que les temps de chargement étaient les plus importants, les joueurs devant attendre deux minutes lors des déplacements rapides.

Après l’arrivée du jeu le plus attendu du monde, l’excitation initiale des joueurs s’est rapidement transformée en écran de chargement, avec des sessions sur console interrompues par des arrêts de 40 secondes entre les niveaux, parfois au-delà d’une minute. Duke Nukem Forever a échangé une attente légendaire contre une autre, plus frustrante.

Pour un jeu dont l’objectif est d’explorer le futur à toute vitesse, les débuts de WipEout 2048 sur PlayStation Vita ont ironiquement forcé les joueurs à maîtriser l’art de l’attente. Ses célèbres écrans de chargement de plusieurs minutes ont transformé ce titre de lancement en un exercice de patience inattendu.

Lorsque votre écran devient noir, l’attente de la vaste frontière de Red Dead Redemption 2 commence. Ces premières minutes s’étirent comme des horizons désertiques pendant que le monde ouvert complexe du jeu s’assemble, une expérience commune à toutes les plates-formes pendant que des ressources massives se chargent en mémoire.

L’enthousiasme initial pour les débuts de Mass Effect 2 sur PS3, avec ses capacités graphiques améliorées, a cédé la place à une frustration généralisée des joueurs, les temps de chargement documentés dépassant largement ceux des autres plateformes. Les analyses techniques ont confirmé ces retards prolongés, qui ont constamment perturbé le déroulement du jeu et atténué l’expérience globale.

Alors que Fallout 76 s’aventurait audacieusement en territoire inconnu en tant que première expérience multijoueur de la franchise, les joueurs ont rapidement découvert un ennemi juré inattendu. Des écrans de chargement qui semblaient s’allonger au fil des sessions et qui atteignaient des proportions véritablement épiques lors des mises à jour et des événements majeurs.

L’analyse technique des performances de Skyrim sur PS3 a révélé une corrélation critique entre la taille des fichiers de sauvegarde et la dégradation du temps de chargement. Au fur et à mesure que les joueurs progressaient et que les fichiers de sauvegarde s’agrandissaient, les écrans de chargement passaient de brèves interruptions à des retards de plusieurs minutes, rendant finalement le jeu presque injouable pour de nombreux utilisateurs confrontés à ces goulets d’étranglement importants.