20 jeux de dernière génération qui ont repoussé les limites

En 2013, The Last of Us a montré que la PS3 possédait encore une magie inexploitée. Ce qui ressortait le plus, ce n’était pas seulement les graphismes, mais la façon dont le jeu mêlait un gameplay serré à une narration brute. Le voyage de Joel et Ellie a redéfini le caractère personnel d’un jeu sur console.

Lorsque GTA V a été lancé, on avait l’impression d’avoir trois jeux en un. Les joueurs pouvaient passer de Franklin à Michael et à Trevor, chacun ayant sa propre histoire et son propre chaos. Cette liberté, associée à l’immense monde ouvert de Rockstar, a redéfini les attentes des joueurs en matière de jeu en bac à sable.

Avec BioShock Infinite en 2013, les joueurs ont été transportés dans la cité céleste de Columbia. Les Skylines vous permettent de vous lancer dans le combat avec rapidité et brio, tandis que les Vigors ajoutent des touches surnaturelles. Son mélange d’action et de thèmes lourds lui a valu une réputation à la fois étonnante et stimulante.

La Xbox 360 avait encore beaucoup à donner en 2011, et Gears of War 3 l’a prouvé. Le mode Horde est devenu un incontournable de la culture, la campagne coopérative a fait parler les joueurs, et la boucle de combat raffinée s’est imposée comme le point culminant de la série.

Le périple dans le désert de Nathan Drake dans Uncharted 3 a fait tomber les mâchoires en 2011. De l’effondrement d’immeubles aux poursuites audacieuses, le jeu maîtrisait l’action cinématographique. Mais au-delà des décors, c’est le multijoueur qui a fait la différence, montrant comment Naughty Dog pouvait allier une grande histoire à un gameplay axé sur la communauté.

En 2010, Red Dead Redemption a redéfini ce que pouvaient être les jeux à monde ouvert. Les joueurs s’aventuraient dans une région frontalière où la faune et la flore étaient omniprésentes et où les surprises ne manquaient jamais. Même des moments aussi simples que regarder le soleil se fondre dans l’horizon les entraînaient dans un monde authentique et sans limites.

En 2012, les joueurs avaient investi des années dans la trilogie Mass Effect. Le troisième chapitre a rehaussé les enjeux avec des combats plus poussés et des décisions plus lourdes de conséquences que les jeux précédents. La fin controversée mise à part, l’ambition de laisser les fans façonner une fin galactique était inégalée à l’époque.

En 2011, Dark Souls s’est forgé sa propre légende. Son monde interconnecté encourageait l’exploration, mais punissait les erreurs avec une précision impitoyable. Les combats de boss exigeaient de la patience et de la stratégie, ce qui a permis de créer une communauté de joueurs fidèles qui ont relevé le défi et ont fait de « Soulslike » un genre durable.

Les joueurs sur console ont rencontré Geralt en 2012 lorsque The Witcher 2 est arrivé sur Xbox 360. Le jeu leur offrait des choix variés qui comptaient réellement et un scénario riche en intrigues politiques. Pour beaucoup, il a redéfini ce que pouvait être un jeu de rôle sur console.

PlatinumGames a transformé la furtivité en vitesse lorsque Revengeance est arrivé en 2013. Le maniement de l’épée de Raiden permet aux joueurs de découper les ennemis et même le paysage avec un contrôle précis. Les affrontements avec les boss sont plus grands que nature, créant un mélange unique de chaos et de cinématiques dont les fans parlent encore aujourd’hui.

Bien que plus connu sur PS4, Persona 5 s’est discrètement glissé sur PS3 en 2016. Son mélange de dungeon crawling et de mécaniques de simulation sociale a donné aux joueurs un rythme qu’aucun autre RPG n’a égalé. Avec des visuels saisissants et les Phantom Thieves en son cœur, il a défini le style et la substance.

En 2011, L.A. Noire a mis les joueurs derrière l’insigne d’une manière inédite. Les animations faciales, d’une précision stupéfiante, ont transformé les interrogatoires en un jeu de devinettes tendu. Enveloppé d’une atmosphère noire, le jeu mêlait le travail de détective à des explosions d’action, se démarquant ainsi des mondes ouverts habituels de Rockstar.

Peu de méchants restent dans les mémoires comme Vaas dans Far Cry 3. Sorti en 2012, le jeu plongeait les joueurs dans une île tropicale chaotique où la survie dépendait de l’exploration et de l’instinct. Il a tellement développé le jeu en bac à sable que beaucoup le considèrent comme le moment décisif de la série.

En 2013, la série s’est réinventée avec Black Flag. Le combat naval est devenu la vedette en permettant aux joueurs de commander des navires et d’explorer les Caraïbes dans la peau d’Edward Kenway. Son thème pirate a transformé la formule en quelque chose d’audacieux et de frais, insufflant une nouvelle énergie à la franchise.

Lorsque Bayonetta a fait irruption sur les consoles en 2010, elle a attiré l’attention. Les combats rapides et riches en combos de l’héroïne ont redéfini le spectacle de l’action. Chaque combat contre un boss donnait l’impression d’être tiré d’un rêve éveillé, tandis que le caractère enjoué de l’héroïne, inspiré des sorcières, en a fait l’un des personnages principaux les plus marquants du jeu vidéo.

Sorti en 2011, Killzone 3 visait à repousser les limites techniques de la PS3. De la prise en charge de la 3D stéréoscopique aux décors gigantesques, il a misé sur le spectacle. Les systèmes de tir et multijoueurs raffinés en font bien plus qu’une simple vitrine graphique.

Pour beaucoup, Final Fantasy XIII est devenu la première vitrine des graphismes next-gen. Sa sortie en 2010 a stupéfié les fans avec des scènes cinématiques et un système de combat basé sur la vitesse et la planification tactique. Qu’on l’aime ou non, les débuts de Lightning ont prouvé que Square Enix connaissait toujours le spectacle.

En 2010, la série Castlevania s’est réimaginée avec Lords of Shadow. Des décors gothiques se déploient avec un poids cinématographique, mêlant résolution d’énigmes et combats grandioses. Ce jeu racontait une nouvelle histoire au sein d’une franchise bien-aimée et prouvait que la réinvention pouvait honorer l’histoire tout en ouvrant la voie à quelque chose d’entièrement nouveau.

Le jeu Journey de Thatgamecompany en 2012 ne ressemblait à rien d’autre sur PS3. Les joueurs parcouraient de vastes déserts et escaladaient des sommets enneigés, parfois rejoints silencieusement par des inconnus. Sans dialogue, la direction artistique et la musique ont permis de créer une aventure coopérative qui a redéfini le caractère silencieux d’un jeu.

Sorti en 2011, Ni no Kuni a enchanté les joueurs avec un monde rendu vivant par l’art du Studio Ghibli. Le cadre du JRPG s’intègre parfaitement aux images de contes et à la musique orchestrale. Le résultat est une expérience magique qui a séduit les fans de longue date du genre et les nouveaux venus.