Les 10 meilleures cartes de Call Of Duty et les 10 pires

Peu de cartes dans l’histoire de COD offrent un rythme aussi fluide et un engagement aussi échelonné que Crash. Avec sa pièce maîtresse, un hélicoptère abattu, et ses toits riches en points de vue, elle récompense le jeu tactique. Introduite à l’origine en 2007, elle est réapparue depuis dans de nombreux titres de Modern Warfare.

Le chaos rencontre la structure dans cet aéroport russe. Le terminal prospère grâce à son agencement polyvalent, offrant tout ce dont vous avez besoin, des couloirs pour les tireurs d’élite aux zones d’embuscade à courte portée. La notoriété de cette carte tient également à son lien avec la mission controversée « No Russian ».

Ce qui n’était au départ qu’un prototype de carte de test est devenu l’un des champs de bataille les plus appréciés de la franchise. La configuration minuscule et réfléchie de Nuketown rend chaque seconde chaotique et permet d’empiler facilement les killstreaks. Depuis ses débuts, elle a été réimaginée dans tous les titres de Black Ops.

Située au sommet d’un gratte-ciel, Highrise offre des lignes de visée pour les tireurs d’élite, des itinéraires cachés et un gameplay vertical que peu de cartes peuvent égaler. La marche sur la corniche et le contrôle de l’héliport offrent des avantages stratégiques aux joueurs expérimentés. Sa popularité lui a valu de revenir dans Modern Warfare II (2022) avec des graphismes améliorés.

Raid est un exemple classique de carte à trois couloirs bien conçue. Située dans un élégant manoir d’Hollywood Hills, elle offre une fluidité parfaite pour les parties publiques et compétitives. Grâce à son équilibre parfait, elle fait régulièrement partie des rotations esports.

Située dans une ville frontalière du Kirghizistan déchirée par la guerre, Standoff offre une symétrie presque parfaite et des zones de combat équilibrées. Le couloir central ouvert de la carte favorise les duels de snipers, tandis que les chemins latéraux récompensent les attaquants agressifs. Les joueurs compétitifs l’ont tellement appréciée qu’elle a été remastérisée pour Black Ops 3 et Cold War.

Favela se nourrit d’imprévisibilité. Construite sur des toits à plusieurs niveaux et dans des allées sinueuses, ses chemins irréguliers favorisent les escarmouches rapides et décalées. Sa structure unique l’a rendue exceptionnelle dans MW2, et elle revient dans Modern Warfare III (2023) après des années de demandes de la part des fans.

Un yacht de luxe peut sembler être un drôle de terrain de guerre, mais Hijacked en reprend la formule avec des couloirs étroits et une action constante. Le contrôle du milieu du navire est vital, mais les ponts inférieurs secrets permettent de prendre des risques sur les flancs. La popularité de cette carte lui a valu de réapparaître dans Black Ops III et BO4.

De longues rues et des tireurs d’élite mortels définissent la carte du Moyen-Orient de Crossfire. Le positionnement et la patience comptent plus que la vitesse, surtout avec les angles de puissance qui couvrent le centre de la carte. Elle reste le paradis des tireurs d’élite et a été remaniée pour Modern Warfare Remastered (2016).

La structure épurée de Strike lui a valu des remakes dans Modern Warfare Remastered et Modern Warfare (2019). Cette carte urbaine propose divers scénarios de combat, notamment des échanges de tirs dans les ruelles et des affrontements en plein air. Son rythme s’adapte parfaitement au mode et aux tactiques de l’équipe.Maintenant que nous avons revisité les cartes qui ont incité les joueurs à revenir match après match, inversons le scénario. Certaines cartes ont tellement raté leur coup qu’elles ont déclenché des abandons instantanés. Voici un aperçu de ces cartes.

Situé dans un métro new-yorkais en ruine, Downturn offre des lignes de vue encombrées et un rythme douloureusement lent. Sa disposition asymétrique et l’abondance de débris rendent les engagements incohérents. Malgré la richesse de la gamme de cartes de MW3, cette carte figure rarement parmi les préférées des joueurs.

La verticalité malmenée définit l’agencement chaotique de Chasm à Los Angeles. La navigation dans les bâtiments brisés et les terrains accidentés est décousue, tandis que les rencontres avec les ennemis sont souvent aléatoires. Même parmi les cartes les plus critiquées de Ghosts, celle-ci a fait l’objet d’une critique particulière pour sa fluidité et son design oubliable.

Stonehaven s’inspire des châteaux écossais et s’étend sur un terrain gigantesque mal adapté au multijoueur traditionnel. Les combats rapprochés sont quasiment inexistants et les tireurs d’élite dominent les champs ouverts. L’immensité de la carte a souvent entraîné de longues périodes d’inactivité, en particulier dans les modes 6v6 standard.

Le palais d’Aniyah est magnifique, mais il est terriblement difficile à jouer. Trop grand et rempli de points d’étranglement maladroits, il ralentit le jeu à un rythme effréné, à moins que vous ne jouiez à la guerre terrestre. Le palais orné au centre devient un havre de paix pour les campeurs, ce qui frustre les joueurs qui veulent des combats équilibrés.

Un canon ferroviaire massif domine le centre de cette carte, servant de tour de sniper mal placée. La conception ouverte de Gustav Cannon punit le mouvement et encourage le campement à partir de positions élevées. Elle est rapidement devenue l’une des cartes les plus méprisées de la Seconde Guerre mondiale.

Vaste et décousu, Siege ne parvient pas à offrir un gameplay cohérent dans le cadre de sa raffinerie de pétrole. Les longues rotations donnent l’impression que les objectifs sont éloignés les uns des autres, tandis que les points de spawn erratiques perturbent la fluidité de l’équipe. Malgré ses détails complexes, elle fait partie des cartes de Ghosts les moins rejouées en raison de son rythme lent.

La rotation des caisses d’expédition peut sembler dynamique, mais la disposition de Cargo conduit souvent à un mauvais contrôle de la carte. Les joueurs sont contraints de s’engager maladroitement entre des conteneurs obstructifs. Alors que Black Ops II disposait globalement d’un excellent roster, celui-ci n’a que rarement reçu les éloges de la communauté.

Situé dans une gare de triage russe enneigée, Derail souffre de sa taille excessive. Les tireurs d’élite dominent les champs ouverts, tandis que les combats intérieurs semblent déconnectés et clairsemés. Les affrontements se transforment souvent en impasses, ce qui en fait l’un des champs de bataille les plus controversés de MW2.

La beauté de Piccadilly cache un déséquilibre chaotique. La voie de bus centrale devient un goulot d’étranglement, tandis que les pièges se multiplient beaucoup trop facilement. Les réactions des joueurs ont été extrêmement négatives, ce qui a entraîné de nombreux ajustements après le lancement.

La neige et la lenteur caractérisent la base militaire arctique peu inspirée d’Outpost. L’abondance de bâtiments encourage le camping, tandis que le terrain plat offre peu d’espace pour les flancs. Même dans la sélection de cartes variées de MW3, Outpost reste l’une des cartes les plus fréquemment ignorées.