20 jeux qui font rager et abandonner

Avec une base de joueurs notoirement toxiques et un système de classement qui punit les petites erreurs, il n’est pas étonnant que la plupart des joueurs se sentent déstabilisés. Un seul coéquipier peut également conduire à la perte de la partie. La « capitulation à 20 ans » est pratiquement devenue un rituel communautaire.

Il n’y a pas de bouton pause ici (même pendant les combats de boss), et les mécanismes punitifs n’épargnent personne. Chaque échec entraîne l’apparition du fameux écran « Vous êtes mort », ainsi que des âmes perdues et une frustration croissante. Mémoriser les schémas des ennemis n’est pas facultatif, mais nécessaire pour survivre dans Dark Souls.

Son style cartoon charmant cache le fait que chaque boss nécessite une esquive parfaite. La difficulté arcade rétro n’offre aucune aide, et les niveaux apparemment simples de type « run & gun » sont étonnamment délicats. Les joueurs se heurtent souvent à un mur sur la dernière île et se mettent en colère.

La survie semble aléatoire dans PUBG. Vous pouvez passer dix minutes à piller pour mourir d’un accident de voiture ou d’un camping-car invisible. Les bugs et le lag persistent, et la caméra de la mort soulève souvent plus de sourcils qu’elle n’apporte de réponses. Moins de stratégie et plus d’imprévisibilité.

La précision n’est pas optionnelle dans Super Meat Boy, elle est essentielle. Une seconde d’hésitation et c’en est fini de vous. Avec plus de 300 niveaux dont la difficulté augmente rapidement, même les premières étapes ressemblent à des combats de boss. Un seul faux pas signifie la mort instantanée, et le jeu montre chaque échec dans des rediffusions brutales.

Même les streamers expérimentés perdent leur sang-froid en jouant à un jeu spécialement conçu pour les tester. Un seul faux mouvement et des heures de progrès s’évanouissent instantanément. Il n’y a pas de points de contrôle et la narration sarcastique des développeurs ne fait qu’empirer les choses. On s’attend presque à ce que les joueurs quittent le jeu enragés.

Dans Elden Ring, certains donjons ressemblent plus à des pièges qu’à des quêtes, et les invasions JcJ transforment l’exploration paisible en chaos. Avec des ennemis cachés et surpuissants disséminés sur une carte gigantesque, chaque victoire semble durement gagnée – et parfois n’en vaut pas la peine. Les boss du monde ouvert ne manqueront pas d’écraser les joueurs non préparés.

Se faire larguer par un campeur n’est que le début. Après la mort, le Goulag vous lance dans un face-à-face tendu pour une chance de rédemption. Dans COD: Warzone, le chaos qui règne dans les parties tierces, le RNG injuste du butin et les tricheurs fréquents transforment chaque match en un véritable parcours du combattant.

Ce qui semble simple devient rapidement exaspérant. Une seule touche manquée réinitialise tout le niveau, et il n’y a pas de points de contrôle en vue. Avec des centaines de niveaux ultra-durs et une musique de fond intense, Geometry Dash fait rapidement monter la pression pour ensuite la transformer en véritable rage.

Les nouveaux joueurs luttent dans Fortnite avec des mécanismes de construction agressifs, tandis que les vétérans dominent avec des tactiques de haute pression. Vous pouvez être éliminé avant même d’avoir atterri. La méta des armes, en constante évolution, déséquilibre tout le monde, tandis que les emotes toxiques sont connues pour ajouter l’insulte à la blessure.

Atterrir dans Mortal Kombat 11, c’est comme se lancer dans un combat auquel on n’est pas préparé. Les coups fatals sortent de nulle part et les données de frames sont connues pour submerger les joueurs occasionnels. Même l’abandon rageur entraîne une pénalité, ce qui fait de chaque match une épreuve de patience et d’orgueil.

Siege vous plonge dans des rounds à fort enjeu où une balle dans la tête vous envoie directement en mode spectateur. Ajoutez à cela des tirs amis punitifs et une culture de chat vocal toxique, et le jeu devient rapidement accablant. La maîtrise de la courbe d’apprentissage abrupte demande beaucoup de temps et d’endurance mentale.

Alors que vous pensez avoir gagné un combat, une autre escouade surgit de nulle part. Le chaos des tiers définit Apex, tandis que les coéquipiers aléatoires ruinent la progression dans les classements. De plus, des bugs audio perturbent votre conscience, et les longs revivals ou les déconnexions en plein combat empêchent de rester calme.

Même les joueurs les plus expérimentés se brûlent les ailes lorsqu’une entrée manquée coûte tout le tour. Le spamming des adversaires met également votre patience à l’épreuve, et les connexions en ligne instables gâchent la fluidité du jeu. De plus, si vous abandonnez en cours de partie, le système vous garantit une perte instantanée.

L’exploration devient alors stressante, car le jeu la punit de la peine de mort. Sekiro exige la perfection technique sans le filet de sécurité des constructions ou des augmentations de statues. Chaque rencontre repose sur un timing précis, et les boss comme Genichiro vous obligent à apprendre rapidement ou à mourir en essayant.

Les courses ressemblent plus à une malédiction qu’à une récompense, à cause de l’omniprésence de la coquille bleue. L’IA élastique vous met constamment sous pression, et les objets chanceux l’emportent souvent sur les compétences réelles. Au moment où vous pensez avoir gagné, un ami vous vole la victoire.

Dans Valorant, chaque virage est synonyme d’élimination instantanée. Si vous tombez tôt, attendez-vous à une longue attente pendant que le round s’éternise. Le chat vocal peut également devenir toxique, et sans choix d’agents équilibrés ni travail d’équipe solide, les chances sont rarement équitables.

Dans Hollow Knight, l’exploration devient tendue lorsque les points de sauvegarde sont très espacés. Au fur et à mesure de votre progression, les combats de boss deviennent de plus en plus brutaux, exigeant un timing sans faille. Et puis il y a Deepnest, un labyrinthe cauchemardesque qui met à l’épreuve à la fois vos réflexes et votre volonté de continuer.

Les mécanismes de saisie incohérents, les cartes basées sur la chance et la physique imprévisible créent une frustration constante dans Fall Guys. Ajoutez à cela des coéquipiers peu fiables, et même un bon départ peut mal se terminer. C’est un jeu amusant, jusqu’à ce que le dernier round devienne impitoyable.

Ninja Gaiden exige une exécution quasi-parfaite, où la moindre erreur entraîne de lourdes conséquences. Les objets de soin sont rares et les mauvais angles de caméra rendent souvent les combats plus difficiles qu’ils ne devraient l’être. Le rythme implacable ne se relâche jamais, assurant son héritage comme l’un des jeux les plus durs jamais réalisés.