Les 20 meilleurs jeux à quatre joueurs

Une fois les cris calmés, le chaos laisse place à la stratégie. Quatre joueurs jonglent entre découpe, friture et service dans des cuisines qui s’effondrent littéralement. Le niveau de conception exige une coordination sous pression, récompensant les équipes capables de s’adapter rapidement. C’est la référence en matière de coopération sur canapé, mettant à l’épreuve la patience, la créativité, le sens du timing et la capacité de communication entre amis.

Quatre nains, des grottes générées de façon procédurale et un essaim d’extraterrestres rôdant dans les profondeurs. Chaque joueur incarne un rôle —tireur, foreur, ingénieur ou éclaireur— et c’est la collaboration qui détermine la survie. La diversité des missions et l’interdépendance des classes offrent une structure multijoueur d’une rejouabilité infinie et d’une étonnante richesse tactique.

Aucune sélection de jeux à quatre ne serait complète sans ce jeu. Même après 60 minutes, le jeu reste parfaitement équilibré, que vous incarniez Kirby ou Steve de Minecraft. L’effectif est inégalé, et la physique récompense ceux qui maîtrisent l’art de l’espacement plutôt que le matraquage. Ce jeu peut être aussi compétitif ou détendu que le souhaite votre groupe.

Grâce aux mods et aux serveurs communautaires, ce jeu continue de vivre aujourd’hui. Ce shooter coopératif signé Valve est parfaitement conçu pour une escouade de quatre survivants. L’IA adapte ses attaques à votre style, rendant la cohésion du groupe essentielle. Les cartes sont nerveuses et dynamiques, transformant chaque session en véritable course contre la montre sous adrénaline.

Il tourne sans accroc à 60 images par seconde, même en écran partagé à quatre joueurs —une prouesse que peu de jeux modernes peuvent se vanter d’atteindre. Les mécaniques de dérapage sont parfaitement calibrées et la conception des circuits frôle l’excellence. Quant aux objets aléatoires, ils rendent chaque course imprévisible, sans jamais sembler arbitraires ou injustes.

Quatre chasseurs de fantômes, un bâtiment hanté et un équipement aussi capricieux qu’essentiel. Contrairement à la plupart des jeux d’horreur coopératifs, celui-ci transforme le silence en véritable stratégie de survie. Les joueurs doivent déchiffrer des indices cryptiques tout en gardant leur sang-froid sous pression. Grâce à la reconnaissance vocale, les fantômes entendent vos voix, rendant chaque blague ou décision tactique potentiellement risquée.

Ce beat ’em up offre une progression à quatre joueurs à travers des niveaux compacts. Chaque héros gagne en expérience, débloque de nouvelles magies et collecte du butin, permettant de faire évoluer les personnages sans freiner le rythme. Le style artistique, décalé et loufoque, contraste avec des combats qui récompensent les combos et la synergie entre coéquipiers.

La campagne à quatre joueurs de Halo 3 reste toujours aussi captivante, et cette collection la met en parallèle avec les autres grands titres de la série. Les combats et les parties personnalisées enrichissent l’expérience, tandis que le matchmaking s’étend sur plusieurs générations. Ce savant mélange de mécanismes classiques et de finition moderne a largement contribué à façonner l’âge d’or du multijoueur, en écran partagé comme en ligne.

Vous et trois autres construisez des voies ferrées sur un terrain généré, tandis que le train avance sans relâche. C’est une course contre la montre qui demande gestion des ressources et beaucoup de cris. Les rôles changent constamment —qui coupe le bois, qui pose les rails— et la tension monte, sans que les erreurs ne soient punies trop rapidement.

Les meubles ne bougent pas tout seuls, et dans ce jeu, ils avancent à peine, sauf quand ils volent à travers les fenêtres. Quatre joueurs coordonnent les ascenseurs, évitent les dangers et jettent les canapés par-dessus les rivières. Moving Out mise moins sur la précision que sur la rapidité et la coopération.

Gang Beasts est absurde, mais dans le meilleur sens du terme! Les joueurs s’agrippent et se jettent dans des broyeurs, des camions ou des ascenseurs. Sa physique gélatineuse rend chaque combat imprévisible, et les rounds rapides favorisent les reprises instantanées. Aucun didacticiel n’est nécessaire: il suffit de se lancer et de semer le chaos.

Des combats classiques en défilement latéral, mais avec une finition renouvelée. Chaque combattant se contrôle de façon unique, récompensant les joueurs selon leurs coups spéciaux et leur rapidité. Les graphismes trouvent un équilibre parfait entre modernité et rétro, tandis que la bande-son déborde d’énergie. Le jeu honore ses racines sans jamais s’y enfermer.

Piloter un vaisseau spatial en néon devient un défi quand chaque joueur contrôle une partie différente. Boucliers, lasers, propulseurs et navigation exigent une communication constante dans ce jeu multijoueur. Les niveaux varient suffisamment pour pousser les équipes à s’adapter, faisant de ce titre un véritable test de codépendance.

Rapide et précis au pixel près! Quatre archers s’affrontent, mais un seul sort généralement vainqueur. Les bonus et plateformes disparues pimentent les combats, mais la victoire repose sur les réflexes et le placement. Les reprises immédiates et les manches serrées rendent le jeu terriblement addictif. Chaque flèche peut briser une amitié… ou forger une légende.

Ici, les tours des joueurs se transforment en véritables spectacles. Les matchs à quatre sont rythmés par des bunker busters et une multitude de choix douteux. La destruction de l’environnement n’est pas qu’esthétique: elle transforme le champ de bataille et la stratégie. L’humour reste vif, et la courbe d’apprentissage est plus douce qu’on ne le croit. Peu de jeux donnent une sensation aussi personnelle et satisfaisante des explosions.

Les constructions évoluent et les hordes de démons tombent vite quand quatre joueurs se synchronisent dans Diablo III. Chaque classe apporte sa spécificité, qu’il s’agisse de soutien de zone ou de dégâts bruts. Le jeu en local sur console fonctionne étonnamment bien, et le mode aventure offre des boucles de contenu infinies. Même après le générique de fin, les joueurs peuvent continuer à s’affronter et progresser longtemps.

Il n’y a pas de MVP unique dans le mode chaos 4v4 de Rocket League. Tout le monde donne des coups de boost et rate ses frappes en parfaite synchronisation. Les voitures filent à 100 km/h, les matchs durent dix minutes, et le plafond de compétence semble infini. L’écran partagé local est impeccable, tandis que le cross-play maintient les équipes en ligne unies.

Quatre joueurs intensifient la tension dans ce jeu. Moins de membres d’équipage signifie moins de témoins, laissant les imposteurs agir plus vite et plus audacieusement. Les discussions deviennent plus personnelles, et la confiance s’effrite rapidement. Among Us est parfait pour les amis qui préfèrent la manipulation subtile et les accusations d’après-match à la simple victoire.

Prendre du retard signifie une élimination immédiate. Ce jeu de course mise sur l’adresse plutôt que le chaos, avec des sauts précis et un timing rigoureux pour les objets. Les courses à quatre sont serrées, avec peu d’affrontements directs. À chaque élimination, la caméra se resserre, amplifiant la pression jusqu’à ce que l’un glisse. C’est un véritable test de maîtrise, loin de la simple chance.

Quatre chasseurs de voûte déchaînent le chaos avec des compétences uniques (le mécha de Moze, les explosions élémentaires d’Amara), rendant la synergie entre coéquipiers aussi efficace que divertissante. Le butin instancié assure une coopération équitable, tandis que la richesse des armes et des planètes promet une rejouabilité infinie. Sans oublier un humour mordant qui anime constamment les échanges d’équipe.