Les 20 plus grands jeux jamais joués sur Sega Genesis

Avant que le marché ne soit inondé de mascottes, Sonic occupait le devant de la scène avec une vitesse et un style inégalés. Conçu pour rivaliser avec les meilleurs jeux de Nintendo, ce jeu afait ses débuts sur en 1991 avec rapidité et fluidité. Les loopings de Green Hill Zone ont redéfini ce que pouvaient être les jeux de plates-formes sur les consoles de salon.

Cette suite est un véritable chef-d’œuvre en matière de conception de jeux de type beat-em-up. Sorti en 1992, Streets of Rage 2 proposait quatre personnages distincts et une bande-son légendaire signée Yuzo Koshiro. Il a placé la barre très haut en matière d’action en coopération et reste encore aujourd’hui un jeu très agréable et satisfaisant.

Gunstar Heroes a explosé sur la scène en 1993 avec de l’action non-stop et un design inventif. Créé par Treasure, le jeu introduisait un système de combinaisons d’armes délirant. Chaque combat de boss avait de l’allure, et le chaos coopératif transformait de simples étapes en véritables épopées d’action.

C’était le premier titre Castlevaniade Konami pour un système Sega, et ils ne se sont pas retenus. Lancé en 1994, Bloodlines présentait des tons plus sombres et des graphismes plus agressifs que ses cousins de la SNES. Le contexte de la Première Guerre mondiale a ajouté une nouvelle couche historique à l’histoire de la franchise.

Sorti en 1993, Phantasy Star IV a clôturé la série de RPG emblématique de Sega avec ambition et raffinement. Le mélange de science-fiction et de fantaisie lui a donné un avantage unique sur les RPG médiévaux plus traditionnels. Il reste l’un des jeux de Genesis les plus acclamés par la critique.

Avec une liste de joueurs étendue et une carte du monde semi-ouverte, Shining Force II a offert aux fans de RPG tactique une véritable liberté. Publié en 1993 par Sonic ! Software Planning, le jeu a été amélioré par rapport à l’original avec une exploration transparente et un système de combat au tour par tour plus fluide.

Mortal Kombat II a débarqué sur Genesis en 1994 et n’a pas mâché ses mots. Les versions SNES et Genesis comprenaient toutes deux du sang et des morts, bien qu’il existât des variations régionales, comme du sang vert dans la version SNES du Japon. Cette édition offre un gameplay plus rapide et un meilleur équilibre.

Ce n’est pas tous les jeux mettant en scène un ver portant une super-combinaison qui deviennent emblématiques. Earthworm Jim y est parvenu grâce à ses animations dessinées à la main et à ses niveaux variés. L’action était serrée et les graphismes repoussaient les limites de la console. En 1994, Earthworm Jim est devenu une bizarrerie de la culture pop, avec de sérieuses compétences techniques à la clé.

Peu de gens s’attendaient à ce qu’un duo d’extraterrestres sur le thème du funk devienne un jeu culte. ToeJam & Earl est sorti en 1991 et a introduit des niveaux générés aléatoirement et un humour décalé. Le jeu en coopération était un attrait majeur, et le rythme décontracté du jeu donnait aux joueurs la possibilité d’explorer. Le jeu était différent, et cela a fonctionné.

Entrez dans une expérience d’arcade de 1989 sans quitter votre canapé. Altered Beast proposait des transformations mythologiques et de l’action à défilement latéral. Bien que les titres suivants aient été plus raffinés, celui-ci a donné un ton visuel au système et a donné aux joueurs une raison de croire en la vision de Sega.

Ecco ne tirait pas et ne sautait pas. Au lieu de cela, ce jeu de 1992 propose une odyssée sous-marine obsédante, remplie d’énigmes et de mystères. Son atmosphère sinistre et sa bande-son ambiante le distinguent des autres jeux. Derrière le cadre paisible de l’océan se cachait une expérience étonnamment difficile.

Un dessinateur de bande dessinée se bat à l’intérieur de ses planches. Comix Zone offre des graphismes en cel-shading saisissants et un système de combat brutal. Chaque niveau est conçu comme une page de bande dessinée, avec des bulles et des transitions. On avait l’impression de contrôler un dessin animé du samedi matin en 1995.

Hard Corps était l’un des plus difficiles de la série. Sorti en 1994, il a apporté le chaos caractéristique de la franchise sur Genesis, avec des scénarios à embranchements et des boss plus imposants. Les joueurs acharnés l’ont adopté, tandis que les nouveaux venus ont rapidement appris que ce jeu ne pardonnait pas.

Arrivé tardivement dans le cycle de vie de la Genesis en 1995, Ristar est passé inaperçu. Il proposait des ennemis créatifs et des mécanismes d’agrippement. Le jeu a été développé par l’équipe de Sonic, mais a évolué à son propre rythme. Aujourd’hui, Ristar est largement reconnu comme l’un des joyaux les moins appréciés de Sega.

Lorsque Genesis a eu besoin d’une dernière démonstration de puissance technique, Vectorman est intervenu. Présenté en 1995, son aspect 3D pré-rendu était en avance sur son temps. La narration environnementale et les contrôles réactifs en ont fait un jeu exceptionnel. Il a prouvé que même à l’approche de la fin de sa vie, la Genesis pouvait encore se battre.

NHL ’94 était le jeu de sport pour les fans de Genesis. Sorti par EA Sports, il a introduit la mécanique du one-timer et de vraies équipes de la NHL. Son équilibre entre vitesse et sensation d’arcade lui a conféré une grande longévité. Nombreux sont ceux qui le considèrent encore comme le meilleur jeu de hockey jamais réalisé.

Ce jeu suivait le prince Ali dans des batailles magnifiquement animées et des énigmes magiques. Les combats en temps réel et les esprits élémentaires ajoutent de la variété à chaque rencontre. Grâce à ses images nettes et à sa conception intelligente, ce jeu s’est facilement taillé une place parmi les titres d’élite de Genesis en 1994.

Aladdinde Disney a fait des vagues grâce à son animation, mais la version Genesis a apporté bien plus que de simples images. Publié en 1993 et développé par Virgin Games, il propose des combats à l’épée et des environnements colorés. L’animation a été réalisée par des animateurs de Disney, ce qui confère au jeu une touche cinématographique authentique.

Souvent négligé à côté de Shinobi III, Shadow Dancer a débarqué sur la Genesis en 1990 avec une expérience plus brutale. Il combine l’action traditionnelle des ninjas avec l’aide d’un compagnon canin. Le chien ajoutait une touche tactique. C’est un jeu remarquable pour les joueurs qui préfèrent les réflexes aiguisés au flash.

Ce classique de 1989 a donné à Genesis l’un de ses premiers succès. Il mêle une narration cinématographique à une courbe de difficulté difficile mais juste. La bande-son du légendaire compositeur Yuzo Koshiro donne un ton sombre, et la conception des niveaux en couches offre quelque chose de nouveau à chaque fois. Il s’agit toujours d’un chef-d’œuvre.